Sans titre, 2007
100 x 100 cm
ref : 0015
jeudi 21 juin 2007
mercredi 20 juin 2007
Contact :
M. Dominique Alcantar
Ferme de Lavau
45340 AUXY
tél : 02 38 92 97 09
Il vous est également possible de contacter l'administrateur du blog à l'adresse suivante : bonnes-questions@hotmail.fr
exposition à "Art et chapelles" à retrouver sur : http://chapellealcantar.blogspot.com/
Ferme de Lavau
45340 AUXY
tél : 02 38 92 97 09
Il vous est également possible de contacter l'administrateur du blog à l'adresse suivante : bonnes-questions@hotmail.fr
exposition à "Art et chapelles" à retrouver sur : http://chapellealcantar.blogspot.com/
mardi 19 juin 2007
dimanche 10 juin 2007
mercredi 6 juin 2007
Actualité : exposition "Art et chapelles" été 2007
Du 30 juin au 15 août 2007 inclus
Du jeudi au dimanche de 14h30 à 18h30
+ les a-m des lundi 13, mardi 14 et mercredi 15 août
Du jeudi au dimanche de 14h30 à 18h30
+ les a-m des lundi 13, mardi 14 et mercredi 15 août
Inauguration le samedi 30 juin à partir de 9h30, avec la présence exceptionnelle des artistes dont Dominique Alcantar.
Cette exposition a lieu dans une série de chapelles entre Segré et Angers.
Pour plus de renseignement, rendez-vous sur le site d'"Art et Chapelles" : http://www.artetchapelles.com/acces.html
Photos exclusives en avant-première des oeuvres de l'artiste Dominique Alcantar à l'intérieur de la chapelle sur le blog : http://chapellealcantar.blogspot.com/
lundi 21 mai 2007
dimanche 20 mai 2007
"Voir le plastique, autrement." par Dominique Alcantar
Sans titre, 2007 ref : 0004
Sans titre, 2007 (collection particulière)
"Quel est le rôle du plasticien,
que ce soit le technicien ou l'artiste,
si ce n'est celui de modeler la matière
-plastique en l'occurence-
pour lui donner sa forme et sa couleur.
Aujourd'hui, c'est ... "
Lire la suite : (fichier .pdf à télécharger)
bientôt disponible
"14 questions à un peintre", revue Saxifrage n°6
Réponses de : Dominique Alcantar
1. Peut-on parler d'art contemporain aujourd'hui ?
Oui, mais ...
Lire la suite : (fichier .pdf à télécharger )
bientôt disponible
"A propos d'Alcantar" par Borneilh
Chez Alcantar, l'art de peindre s'apparente au processus de la stratification géologique.
De cette parenté, il ne s'ensuit pas que la peinture d'Alcantar ait pour borne le terrestre : le ciel a aussi ses strates, comme ...
Lire la suite : (fichier au format .pdf à télécharger )
bientôt disponible
De cette parenté, il ne s'ensuit pas que la peinture d'Alcantar ait pour borne le terrestre : le ciel a aussi ses strates, comme ...
Lire la suite : (fichier au format .pdf à télécharger )
bientôt disponible
samedi 19 mai 2007
lundi 7 mai 2007
Bref aperçu des oeuvres
Ces quelques photos sont un extrait du contenu du blog.
N'hésitez pas à le consulter dans son intégralité.
dimanche 6 mai 2007
Cursus de l'artiste
Dominique ALCANTAR
Formation :
Faculté d'Arts Plastiques
Ecole des Arts Appliqués
Expositions :
1980-1982 : Salon du Vésinet
1982 : "Plasticiens", Port-Camargue (Gard)
1984 : Atelier d'Orsel, Paris XVIIIème
1985 : "Versailles Jeunesse", Le Chesnay
1987 : Alliance Française, Wellington, Nouvelle Zélande
1988 : Atelier d'Orsel, Paris XVIIIème
1990 : Atelier d'Orsel, Paris XVIIIème
1991 : "Portes ouvertes d'Anvers aux abbesses"
1996 : Cabinet d'Architecture Intérieure Kompa et Studio des Designers Associés, Ivry
1999 : "Dominique Alcantar, du noir et blanc à la couleur", Atelier d'Orsel
2001 : "Portes ouvertes d'Anvers aux abbesses"
2002 : Vente aux enchères par Christies (Monaco)
Publication :
"14 questions à un peintre" édité dans la revue Saxifrage n°6
(article disponible sur le blog)
Formation :
Faculté d'Arts Plastiques
Ecole des Arts Appliqués
Expositions :
1980-1982 : Salon du Vésinet
1982 : "Plasticiens", Port-Camargue (Gard)
1984 : Atelier d'Orsel, Paris XVIIIème
1985 : "Versailles Jeunesse", Le Chesnay
1987 : Alliance Française, Wellington, Nouvelle Zélande
1988 : Atelier d'Orsel, Paris XVIIIème
1990 : Atelier d'Orsel, Paris XVIIIème
1991 : "Portes ouvertes d'Anvers aux abbesses"
1996 : Cabinet d'Architecture Intérieure Kompa et Studio des Designers Associés, Ivry
1999 : "Dominique Alcantar, du noir et blanc à la couleur", Atelier d'Orsel
2001 : "Portes ouvertes d'Anvers aux abbesses"
2002 : Vente aux enchères par Christies (Monaco)
Publication :
"14 questions à un peintre" édité dans la revue Saxifrage n°6
(article disponible sur le blog)
samedi 5 mai 2007
vendredi 4 mai 2007
mardi 24 avril 2007
dimanche 22 avril 2007
l'Artiste, vu par Pauline PONS
DOMINIQUE ALCANTAR
Depuis dix ans Dominique Alcantar a installé son atelier dans une ferme du Loiret, au milieu des champs. C’est là qu’il travaille à des oeuvres dont la finalité est d’honorer les lieux pour lesquels elles ont été créées.
De la gravure, dont il a appris la technique aux Beaux Arts de Paris il y a vingt cinq ans, puis à la peinture et enfin aux plastiques modelés, sa quête n’a jamais cessé d’être la même, celle de la lumière.
Lumière qui naît de la profondeur du noir, en gravure.
Lumière qui irradie dans le champ infini de la couleur libérée de toute figuration et de toutes limites.
Lumière spectrale des plastiques froissés ou superposés.
Dire la lumière, à moins que cela ne soit la réfléchir, place Alcantar dans une tradition dont il se réclame l’heureux et modeste héritier.
Son parcours l’a amené à se nourrir tout à la fois du dépouillement de l’art cistercien et de la splendeur des vitraux de Chartres, de Rembrandt et de Vermeer, de Chardin, dont il vénère les natures mortes pour leur présence silencieuse et de toute une lignée d’artistes qui, au XXème siècle, ont pris le parti d’affranchir la peinture de toute représentation pour lui préférer « l’intensité de la présence quand elle répond à l’extension du vide » (Pierre Schneider).
Surtout laisser le champ libre à la couleur et veiller à l’effacement de celui qui œuvre pour la lumière et son rayonnement. L’humilité du peintre n’est pas seulement un trait de son caractère : c’est la condition même de l’épanouissement de son art.
L’initiative Art et Chapelles offrait à Alcantar l’opportunité d’entrer en résonance avec un sanctuaire et d’honorer ce lieu de silence et de recueillement par une œuvre qui appelle la contemplation.
En y présentant à la fois des peintures et des plastiques modelés qui ont été conçus en fonction du lieu (une chapelle au plan ramassé mais avec une élévation importante et la sacristie, espace plus resserré et plus sombre) Alcantar a cherché à nouveau à retenir la lumière.
Dans une évocation de la Jérusalem Céleste, le plastique traité non en sculpture mais de manière murale joue de ses éclats de rouge et de bleus, comme autant de pierres précieuses, et se décline en arbres de vie.
La peinture, à la fois grand livre ouvert qui, par son miroitement de vert et d’argent, rappelle l’enluminure médiévale, et grande toile verticale suspendue, entre ciel et terre, fait vibrer l’espace sacré.
La sacristie, entièrement dominée par le rouge, nous abandonne à notre finitude humaine, à travers l’évocation de la Passion du Christ.
De l’immatériel à l’organique, du sacré à l’humain, Alcantar a réussi à s’effacer.
Pauline Pons
Professeur d'histoire de l'art
Depuis dix ans Dominique Alcantar a installé son atelier dans une ferme du Loiret, au milieu des champs. C’est là qu’il travaille à des oeuvres dont la finalité est d’honorer les lieux pour lesquels elles ont été créées.
De la gravure, dont il a appris la technique aux Beaux Arts de Paris il y a vingt cinq ans, puis à la peinture et enfin aux plastiques modelés, sa quête n’a jamais cessé d’être la même, celle de la lumière.
Lumière qui naît de la profondeur du noir, en gravure.
Lumière qui irradie dans le champ infini de la couleur libérée de toute figuration et de toutes limites.
Lumière spectrale des plastiques froissés ou superposés.
Dire la lumière, à moins que cela ne soit la réfléchir, place Alcantar dans une tradition dont il se réclame l’heureux et modeste héritier.
Son parcours l’a amené à se nourrir tout à la fois du dépouillement de l’art cistercien et de la splendeur des vitraux de Chartres, de Rembrandt et de Vermeer, de Chardin, dont il vénère les natures mortes pour leur présence silencieuse et de toute une lignée d’artistes qui, au XXème siècle, ont pris le parti d’affranchir la peinture de toute représentation pour lui préférer « l’intensité de la présence quand elle répond à l’extension du vide » (Pierre Schneider).
Surtout laisser le champ libre à la couleur et veiller à l’effacement de celui qui œuvre pour la lumière et son rayonnement. L’humilité du peintre n’est pas seulement un trait de son caractère : c’est la condition même de l’épanouissement de son art.
L’initiative Art et Chapelles offrait à Alcantar l’opportunité d’entrer en résonance avec un sanctuaire et d’honorer ce lieu de silence et de recueillement par une œuvre qui appelle la contemplation.
En y présentant à la fois des peintures et des plastiques modelés qui ont été conçus en fonction du lieu (une chapelle au plan ramassé mais avec une élévation importante et la sacristie, espace plus resserré et plus sombre) Alcantar a cherché à nouveau à retenir la lumière.
Dans une évocation de la Jérusalem Céleste, le plastique traité non en sculpture mais de manière murale joue de ses éclats de rouge et de bleus, comme autant de pierres précieuses, et se décline en arbres de vie.
La peinture, à la fois grand livre ouvert qui, par son miroitement de vert et d’argent, rappelle l’enluminure médiévale, et grande toile verticale suspendue, entre ciel et terre, fait vibrer l’espace sacré.
La sacristie, entièrement dominée par le rouge, nous abandonne à notre finitude humaine, à travers l’évocation de la Passion du Christ.
De l’immatériel à l’organique, du sacré à l’humain, Alcantar a réussi à s’effacer.
Pauline Pons
Professeur d'histoire de l'art
jeudi 19 avril 2007
mercredi 11 avril 2007
mardi 10 avril 2007
dimanche 8 avril 2007
mardi 20 mars 2007
Sans titre, 2004
Sans titre, 2004
30x50 cm
(collection privée)
Nous pouvons ici observer les différences apportées par l'éclairage.
mardi 6 mars 2007
vendredi 2 mars 2007
jeudi 1 mars 2007
Phrases d'Alcantar
Ma peinture se montre en tant que telle, en tant que couleurs seules, pures.
Elle est là pour elle même et le plaisir de l’œil.
La figure s’est retirée pour laisser le champs libre de la couleur .
Je peins de manière à ce que la couleur rayonne et ouvre l’espace de
la toile au delà de ses bords, tout en absorbant le regard, en l’immergeant.
Je peins de façon à ce que la couleur apparaisse, seule, remontant du plus profond, à fleur de toile.
Perdre pied dans la couleur.
En pleine couleur, se noyer en ouvrant les yeux. S’emplir de ce vide de couleur.
D . Alcantar
mardi 27 février 2007
Sans Titre, 2005
Sans titre, 2005
90x130 cm
(collection privée)
Les photos présentes sur ce blog donnent un aperçu du travail de l'artiste.
Cependant, de par le fait que ces oeuvres utilisent des jeux de lumière et de couleurs, le rendu d'une photo est beaucoup plus pauvre que le tableau lui-même. De plus, les tailles diverses ne sont pas visualisables sur de telles photos.
Nous vous invitons donc à prendre contact avec l'artiste si ce modeste aperçu vous a donné l'envie de mieux connaitre son travail.
Les photos présentes sur ce blog donnent un aperçu du travail de l'artiste.
Cependant, de par le fait que ces oeuvres utilisent des jeux de lumière et de couleurs, le rendu d'une photo est beaucoup plus pauvre que le tableau lui-même. De plus, les tailles diverses ne sont pas visualisables sur de telles photos.
Nous vous invitons donc à prendre contact avec l'artiste si ce modeste aperçu vous a donné l'envie de mieux connaitre son travail.
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